Il nous est parfois difficile de  vivre le quotidien et d’affronter la routine avec la joie et la passion du premier jour…

Ça fait tellement de fois que nous vivons les mêmes moments, les mêmes situations. Nous pensons connaître le début et la fin de l’histoire, la question et la réponse, l’aller et le retour. 

Cette année en regardant le banquet concluant le Kinous Hachlouhim – le congrès annuel des émissaires du Rabbi – j’ai entendu une des réponses que l’on peut donner à ce problème qui nous touche à tous.

Lisez plutôt :

L’un des grands philanthropes du mouvement Loubavitch Mr. Georges Rohr disait dans son discours : « l’une des meilleurs raisons de donner à Loubavitch est (comme on dit dans le monde des affaires) l’effet de levier. Les actions de Chlouhim ont un effet inestimable. Ils inspirent d’autres à en faire de même (…) et cette année 120 nouveaux couples ont rejoint les rangs de l’armée du Rabbi cela fait donc un nouveau Chalia’h tous les trois jours… »

En l’écoutant je me disais « et si je pensais au jour où j’ai commencé, et si je pensais à la personne qui aujourd’hui entend les enseignements du Rabbi de ma bouche pour la première fois, et si je réalisai que c’est peut-être cet appel, cette paire de tefilines, cette visite à un malade qui ferait la différence ? ».

Il faut parfois se souvenir que même si nous n’en avons pas conscience nos actes ont un impact inestimable sur notre entourage

Pour reprendre les mots du Rabbi : « La Divine Providence conduit chacun dans l’endroit où il réside afin d’y renforcer le Judaïsme et d’y répandre la Torah. »

Chacun est donc un émissaire de D.ieu pour éclairer le monde et en faire un monde meilleur.

À nous de jouer !